Bien vieillir : 4 conseils pour prévenir la perte d'autonomie
3 millions de Français seront en perte d’autonomie en 2030. Dans ce contexte, comment prévenir la perte d’autonomie liée à l’âge ?
Sommaire
Mal au ventre, ballonnements, diarrhée ou constipation, voire alternance des deux, constituent les symptômes du syndrome de l'intestin irritable. Un régime alimentaire s'impose, lequel implique notamment de différencier les fibres solubles des fibres insolubles.
Pour se débarrasser des inconforts digestifs qui caractérisent le syndrome de l'intestin irritable, il est nécessaire d'éviter tous les aliments susceptibles d'irriter l'intestin, c'est-à-dire ceux qui provoquent une hyperstimulation et une distension importante des intestins.
La première consigne consiste à manger plus de fibres solubles et à limiter les fibres insolubles.
Les fibres insolubles sont irritantes pour les intestins et ont donc tendance à aggraver les symptômes digestifs en cas de syndrome de l'intestin irritable. Elles accentuent les ballonnements, les douleurs intestinales, les diarrhées et plus généralement les selles molles. C'est la raison pour laquelle les fibres insolubles sont à limiter chez les personnes souffrant d'un syndrome de l'intestin irritable.
Inversement, les fibres solubles sont douces pour l'intestin car elles stimulent moins le transit digestif et permettent ainsi de diminuer les inconforts digestifs. Leur secret est que lors de la digestion, elles forment une sorte de gel. Par ailleurs, les fibres solubles favorisent la réabsorption d'eau et de sodium au niveau du côlon. Résultat, les selles sont moins molles.
Les fibres solubles sont donc à privilégier et à consommer à chaque repas, les premières étant à limiter. Attention, la quantité de fibres solubles est à augmenter progressivement, pour donner le temps à l'intestin de s'y habituer. On recommande au final une quantité de 20 à 30 g de fibres solubles par jour.
Il est recommandé de suivre un tel régime alimentaire durant environ un mois et ensuite de réintroduire progressivement les aliments écartés ou limités. De cette façon, il est possible de repérer les quelques aliments qui se révèlent les plus irritants pour vous. Ce sont ceux-là précisément que vous serez amené à limiter à plus long terme.
3 millions de Français seront en perte d’autonomie en 2030. Dans ce contexte, comment prévenir la perte d’autonomie liée à l’âge ?
En tant qu’indépendant, il est important d’assurer votre santé et celles de vos proches, et de comprendre les différences entre assurance santé et prévoyance.
En raison du vieillissement de la population et de l'augmentation de l'espérance de vie, le nombre de personnes âgées en situation de perte d'autonomie va augmenter. Qu’est-ce que la perte d’autonomie ? Comment la mesurer ? Faisons le point.