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Maladies graves et redoutées : et si on en parlait ?

Les maladies graves et redoutées… ça n’arrive évidemment pas qu’aux autres. Et pour faire face à ce risque, la prévoyance collective constitue une solution pour les salariés comme pour leurs employeurs.

Publié le 13/04/21

Cancer, accident vasculaire cérébral (AVC), infarctus du myocarde, sclérose en plaques, maladies neurodégénératives, etc. Les maladies graves et redoutées font malheureusement partie de notre quotidien. Et si les progrès de la médecine permettent, aujourd’hui, de développer des thérapies efficaces, le coût de ces maladies graves et redoutées reste important. Et les dommages collatéraux ! Surtout lorsqu’elles ne sont pas couvertes par la Sécurité sociale. Alors mieux vaut prévenir… pour mieux guérir.

C’est quoi une maladie grave et redoutée ?

La liste est longue. On y trouve les cancers, les AVC, les infarctus du myocarde, les maladies neurodégénératives Alzheimer, Parkinson…), les maladies orphelines, la sclérose en plaques ainsi que les coronaropathies qui exigent des pontages multiples, les insuffisances rénales graves ou encore les greffes d’organes vitaux. A l’avenir, il est fort probable que d’autres maladies s’ajoutent à cette liste !

Dans les faits, toutes ces maladies ont des points communs. D’abord, elles altèrent durablement l’état de santé du patient et ensuite, elles ont un impact important sur son quotidien. Gaëlle Neveu, responsable du Département Offre Assurance à La Mutuelle Générale, résume d’un trait :

« Cette typologie de maladie peut faire basculer votre vie du tout au tout. Elles sont souvent imprévisibles, engendrent des dépenses financières élevées et peuvent affecter votre vie personnelle et familiale. »

Les limites de la protection universelle

D’autant que la couverture par l’assurance maladie de ces maladies graves et redoutées est loin d’être totale. « A tort, on imagine souvent que la Sécurité sociale prend tout à sa charge lors de ce type d’événement. En réalité, elle ne couvre qu’une partie des frais en lien avec les soins, les traitements les médicaments, les frais d’hospitalisation et le transport. » Le forfait journalier hospitalier lui est, en général, pris en charge par la mutuelle.

La règle est la même pour tous : les indemnités journalières versées par la Sécurité sociale sont égales à 50% du salaire journalier de base, soit 66,66 % à compter du 31e jour d’arrêt de travail continu si la personne a trois enfants à charge. « Ce n’est pas rien, » assure de son côté Gaëlle Neveu. « Pour autant, c’est loin d’être suffisant pour faire face à des dépenses exceptionnelles comme l’achat d’une perruque ou de la chirurgie réparatrice. Sans compter qu’il y a un certain nombre de plafonds notamment pour les hauts revenus. La question du chômage doit également être anticipée surtout si la convention collective n’est pas avantageuse. »

Se protéger pour pouvoir faire face

D’où l’intérêt de pouvoir bénéficier d’une assurance contre « ces maladies graves redoutées ». Gaëlle Neveu ajoute : « La garantie prévoyance que nous avons mise en place permet le versement d’un capital en cas de diagnostic. Le montant est fonction du niveau de souscription, mais le patient, lui, peut utiliser cette somme comme bon lui semble. » Sans rendre de compte à personne.

« Dans ce type de situation, on a besoin d’une bouée de sauvetage et de bouffées d’oxygène », ajoute Gaëlle Neveu. En clair, ce capital va permettre au patient de maintenir le niveau de vie de son foyer, de rembourser ses prêts, de financer des dépenses en lien avec sa maladie et de se faire des petits plaisirs. De son côté, l’entreprise participe ainsi à un meilleur accompagnement de ses collaborateurs dans ce type de situations. « Les conséquences des maladies graves affectent la sphère privée ainsi que la sphère professionnelle. Plus les liens et les soutiens sont forts et plus la résilience pourra opérer », rappelle l’experte. « D’où l’importance, d’accompagner la famille et les proches. »

 

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